Sur son site internet, la FFMC nationale propose un dossier complet sur ce p… de projet d’instauration du contrôle technique moto, dont voici les grands points (pour accéder aux articles, cliquez sur les liens, pour accéder à l’ensemble du dossier, cliquez ici) :
- Contrôle technique moto : où en est-on ?
Comme vous le savez déjà si vous suivez l’actualité, la FFMC se bat presque au quotidien pour empêcher la nuisance d’un CT inutile et contraignant. À ce stade, la seule certitude que nous ayons est qu’il n’y aura pas de mise en place d’un CT au 1er janvier 2022 comme prescrit par la directive européenne.
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Le projet
Le 2 octobre 2015, le Comité interministériel de la sécurité routière, présidé par le Premier ministre Manuel Valls, a présenté 22 mesures dont l’objectif revendiqué est de réduire le nombre de morts sur les routes…
- Une mesure sans lien avec la sécurité routière
Calée sur ce qui existe déjà pour les voitures de plus de 4 ans, la mesure n’a pas vocation à protéger le conducteur de 2 ou 3 RM en tant qu’usager de la route mais simplement en tant qu’acheteur d’un (…)
- Vers un futur contrôle périodique
Il y a fort à parier que, dès que le réseau de centres de contrôle sera en place, ce même lobby obtiendra, toujours au prétexte de la sécurité routière, l’instauration du contrôle technique périodique (…)
- Contrôle technique moto : c’est toujours NON !
La FFMC le dit depuis des années, les études le montrent, l’état technique des deux-roues motorisés (2RM) est une cause d’accident rare. Le rapport MAIDS a fait état de 0.3 % des accidents étudiés !
- CT moto : nous la ferait-on à l’envers ?
Une réunion « interministérielle » s’est tenue avec les opérateurs du contrôle technique, l’UTAC-OTC, la FNAA et le CNPA, au cours de laquelle a été mise sur la table l’éventualité d’une mise en place d’un CT moto au 1er janvier 2023. De quoi justifier encore plus la tenue de notre manifestation des 10 et 11 avril prochains contre ce contrôle technique, toujours aussi inutile !Mobilisons-nous !
Dans un contexte économique de plus en plus difficile, les usagers de 2 et 3 RM refusent de payer, même quelques dizaines d’euros, une prestation dont ils n’ont pas besoin.